Le CSU phocéen a déployé en décembre 2019 un nouveau dispositif de vidéosurveillance intelligente, d'abord sur une cinquantaine de caméras, en lien avec l'entreprise SNEF. Comme le relève le cahier des charges du projet, « leur nombre est aujourd’hui très important », rendant l’assistance logicielle « impérative » pour les opérateurs. Grâce à cette béquille informatique, les fonctionnaires pourront repérer un objet abandonné, identifier automatiquement une rixe ou suivre le déroulement d’une manifestation, y compris en captant le son alentours. Après un recours en référé début 2020, écarté pour des raisons de procédure par le tribunal administratif de Marseille, la ville a souhaité réalisé une étude d'impact préalablement à la phase de test. L'étude a été transmise à la CNIL à l'été 2020, celle-ci ayant estimé qu'elle était trop vague et imprécise.